Actives dans la production primaire, les exploitations agricoles sont généralement exemptées de la taxe sur la valeur ajoutée. En revanche, lorsqu’elles commercialisent en vente directe des produits achetés en plus de leurs propres produits et que le chiffre d’affaires augmente, il faut être vigilant. En cas d’oubli, le piège fiscal peut en effet se refermer brusquement.