Faucher futé, c’est utiliser la faucheuse-conditionneuse de manière ciblée. La qualité du fourrage s’en retrouve améliorée, et les insectes et autres animaux préservés. 

Depuis janvier 2021, Identitas SA comptabilise le temps que les détenteurs et détentrices d’ovins et de caprins mettent à notifier leurs animaux dans la banque de données sur le trafic des animaux (BDTA). Le mois de juin démontre qu'ils mettent déjà consciencieusement en œuvre l’obligation d’enregistrer les animaux introduit en janvier 2020.

L’Association des petits paysans a élu samedi à sa présidence Kilian Baumann au cours d'une assemblée en ligne.

La plateforme « Statistiques animales » a fait l'objet d'une nouvelle mise à jour. Pour la première fois, les chiffres clés sur la qualité des données reportées dans la base de données sur le trafic des animaux (BDTA). De plus, Identitas AG a pu s’appuyer sur les données de Proviande, l'organisation professionnelle de l'industrie suisse de la viande, pour obtenir d'autres statistiques intéressantes.

En raison de la nouvelle obligation de déclaration pour les ovins et les caprins, Identitas AG a pu analyser pour la première fois les données relatives aux petits ruminants. Les résultats sont maintenant disponibles gratuitement sur sa plateforme Statistiques Animales – une première suisse qui n'intéresse pas seulement le gouvernement fédéral.

Depuis cette année, les éleveurs d'ovins et de caprins doivent enregistrer tous les mouvements de leurs animaux dans la banque de données sur le trafic des animaux (BDTA). Jusqu'à la fin de 2020, aucune redevance ne sera perçue pour les rapports de mouvements manquants. Cela va changer lors de l'année à venir. Mais heureusement, la plupart des historiques d'animaux présentent déjà aujourd'hui un statut correct.

Pour l'année écoulée, les CFF font état de 12 collisions de trains avec du gros bétail tels que des bovins ou des chevaux.

Sur la totalité des aliments donnés à manger à nos animaux, 84 % sont d’origine indigène et 97 % proviennent d’Europe. De plus, les animaux de rente valorisent près d’un million de tonnes des sous-produits qu’engendre la transformation des aliments, réduisant ainsi le gaspillage alimentaire.