Nombreuses sont les demandes pour un marché limité: le boom des reconversions en Suisse, surtout des exploitations de grandes cultures, se fait ressentir. Beaucoup essaient d’avoir leur part. Mais l’appât d’une culture souvent qualifiée de facile en bio, comme la pomme de terre, peut s’avérer coûteux si la qualité n’est pas au rendez-vous.